ALERTE GRAVE : DES PRÉSIDENTS DE DÉPARTEMENTS POURSUIVIS POUR FAUTE FACE A LA PROSTITUTION D'ENFANTS PLACÉS
- transian citoyen
- 30 avr.
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Dernière mise à jour : il y a 1 jour

Scandale révélé par France info : les présidents des départements de l'Essonne, des Yvelines et des Bouches-du-Rhône font l'objet de recours en justice accablants. Des familles les accusent de négligence grave, les tenant responsables de la prostitution de leurs enfants placés sous la tutelle de l'Aide Sociale à l'Enfance (ASE).
De très jeunes filles, confiées à la protection des départements, seraient livrées à des réseaux de proxénétisme dès la tombée de la nuit, parfois attendues devant même leur foyer. Cette situation alarmante, déjà dénoncée par des associations et un rapport parlementaire, prend une nouvelle dimension avec ces recours nominatifs contre des responsables politiques.
Les témoignages recueillis sont poignants. L'histoire de Lilas, dont les filles ont été placées suite à des violences conjugales et dont l'aînée s'est retrouvée piégée dans la prostitution à 13 ans, illustre tragiquement les défaillances du système. L'avocat des familles dénonce un "phénomène national" et une "inaction totale" des présidents de département, allant jusqu'à affirmer que l'on "livre les enfants aux chiens".
Une éducatrice marseillaise enfonce le clou, assurant que la prostitution est présente dans tous les foyers de la ville, avec des jeunes filles se préparant à sortir dès 22h. Elle critique un manque de contrôle et de protection.
Face à cette crise, le ministère de la Justice reconnaît une "situation critique" et une "défaillance", annonçant un renforcement des contrôles dans les foyers de l'ASE. Cependant, ces mesures interviennent alors que des voix s'élèvent pour dénoncer des contrôles actuels insuffisants et trop espacés.
En bref : Trois présidents de départements sont mis en cause pour ne pas avoir protégé des enfants placés, victimes de prostitution. Cette affaire met en lumière les graves dysfonctionnements de l'ASE et soulève des questions cruciales sur la responsabilité des institutions dans la protection de l'enfance.
Ces situations, selon Maître Michel Amas, avocat de plu

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