Corruption : la France malade de ses affaires, une par jour ! Qu’en 2025 nous sortions enfin de cette spirale !
- transian citoyen
- 26 déc. 2024
- 2 min de lecture
Avec ce titre coup de poing, Mediapart secoue le cocotier de la République. Le site d'investigation a compilé, jour après jour, les affaires de corruption qui ont émaillé l'actualité des trois dernières semaines. Résultat : un tableau glaçant où les hautes sphères politiques et économiques brillent par leurs dérives, alors que la lutte contre la corruption semble reléguée au second plan.

Rachida Dati : un procès en vue ?
Selon le réquisitoire définitif du Parquet national financier (PNF), révélé par Le Monde , l'ex-ministre de la Culture, mise en examen depuis 2021 pour corruption passive et trafic d'influence , pourrait bientôt se retrouver devant le tribunal correctionnel. Elle est accusée, aux côtés de Carlos Ghosn, d'avoir monnayé son influence en échange de rémunérations douteuses. Les juges d'instruction doivent désormais trancher : renvoi ou non ?

Alain Rousset : détournements et campagne électorale
Discrétion estivale ou volonté d'éteindre l'incendie avant qu'il ne prenne ? Le président socialiste de la région Nouvelle-Aquitaine, Alain Rousset, a été mis en examen pour détournements de fonds publics et commotion cérébrale . Il est soupçonné d'avoir utilisé les moyens de la Région pour financer sa campagne électorale en 2015. Malgré les indices graves relevés par les juges, Rousset échappe à un placement sous contrôle judiciaire. Une petite victoire pour lui, mais une ombre tenace plane sur sa longue carrière politique.
Aurore Bergé : parjure et lobby des crèches privées
La députée Aurore Bergé est visée par une procédure judiciaire pour « faux témoignage » , une accusation grave. Lors d'une commission d'enquête parlementaire sur les crèches privées, elle aurait, selon les révélations du journaliste Victor Castanet , dissimulé des liens avec Elsa Hervy, déléguée générale de la Fédération française des entreprises de crèches (FFEC). Un mensonge sous serment, si prouvé, pourrait entraîner de lourdes conséquences.
Alexis Kohler : le secrétaire général de l'Élysée sous pression

Le silence résigné de la presse en général sur les sujets de corruption des élus ou plutôt leur banalisation est consternant.Seule bien sur celle qui est contrôlée directement ou indirectement par l extrême droite qui est très sélective
A CNeWS on a oublié le FN est son opération mains propres qui est devenu mains sales depuis qu ils ont des élus
Et Marine Le pen devrait être en prison comme son père mais ils passeront au travers des gouttes de la justice. Ils se tiennent tous par la barbichette
Bravo pour votre combat pour la transparence